C’était un très court séjour, mais un dont j’ai profité beaucoup. Au débout, j’avais peur que je n’apprendrais plus de français, parce qu’il était difficile à parler avec les Parisiens. Mais à ce moment-là, je trouve que je parle mieux français et que je le comprends mieux aussi. C’est quelque chose qui me rend très heureuse, alors! C’était un mois du travail, oui, mais c’était aussi un mois d’amusement et de la découvert d’une nouvelle culture. Il me manquera, Paris. Tous les jardins, tous les gens dans les rues, la brusquerie Parisienne, le temps incertain, les baguettes, les petites rues très inégales, les marchés au plein air…tout ça, ça va rester avec moi. Je voudrais bien retourner en France pour apprendre mieux le français et surtout pour profiter de la culture française, qui est si différent de celle des États-Unis. J’ai trouvé tous nos visites et notre travail très utile pour intégrer à Paris, et je pense que sans nos excursions et nos projets de Français 100, je ne découvrirais aussi bien la capitale.
En entendant les paroles de sécurité dans l’avion, je réalise que c’est vraiment le moment du départ. Ça, c’est très triste. Je suis quand même heureuse que j’ai fait presque tout que je voulais, sauf manger les escargots (mais peut-être c’est meilleure comme ça—j’ai une raison pour revenir). Je pense que quand je marche encore sur la terre des États-Unis, je serai un peu choquée par les attitudes différents des Américains. Ils seront plus gentille, peut-être, mais quand même, je sentirai triste parce que ça va signifier la fin de mon séjour à Paris. Sois je retourne pour un semestre des études étrangères, sois je reviens pour enseigner l’anglais dans une ville français, j’irai en France encore, bien sûr!